Le sport va chercher la peur pour la dominer, la fatigue pour en triompher, la difficulté pour la vaincre.

lundi 28 octobre 2013

Capitotrail, la revanche....

Petit retour en arrière, l'an dernier j'avais déjà couru le capitotrail, mais ça a été ma pire course (Cf récit). Alors je me suis dit que cette année, il faut que je prenne ma revanche, en même temps c'était pas trop difficile...  A mais zut c'est un nouveau parcours, complètement différent donc c'est mal barré pour comparer mes perfs. Lundi dernier, j'ai un mega coup de pompe, je finis mon entrainement de natation sur les rotules, c'est vraiment mal barrés pour dimanche. Mardi, c'est pas beaucoup mieux, je zappe tout effort physique, mais le soir je m'inscris qu'en même et me couche tot. Mercredi, ma séance de fractionnée se passe étonnamment bien.  Je maintiens du repos et me couche tôt. Du coup l'objectif de la course est de finir sans trop souffrir car j'avoue que je le sens pas trop.





Finalement le dimanche matin pendant mon petit dej' je regarde le roadbook, et je fais une estimation avec une moyenne entre le temps prévu d'un 1er et du dernier. Finir en 3h20, ça me parait un peu prétentieux, non je vais plutôt mettre entre 3h30 et 4h  en essayant d’être le plus proche des 3h30 comme à St Maurice en Gourgois.
Il fait très doux ce matin presque chaud, il y a du soleil, il faut le souligner car depuis quelques temps il pleut quasi tous les dimanches. Je covoiturage avec Fred (avec qui je cours et roule de temps en temps), il me dit qu'il a prévu de me prendre en photo pour immortaliser mon arrivée, ben oui Fred cours beaucoup plus vite que moi.

On papotte sur la ligne de départ, et oui pour une fois que je connais "plein" de monde sur une course. Par contre on écoute pas trop le briefing. Puis tout le monde fait demi tour et part en trottinant. Quelques secondes à se demander se qu'on fait. En fait on fait une traversée de village derrière un tracteur avec un groupe de musique c'est assez sympathique. Hop un coup de feux et c'est partie.


Le début est assez plat le long d'une rivière. Puis rapidement le chemin bifurque, grimpe à droite, et se rétrécie ça bouchonne un peu. je me dis que j'aurai peut être pas du partir en fin de peloton. Finalement c'est pas trop inquiétant et ça se débloque rapidement. ça monte doucement donc largement courable, On est sur des monotraces dans les bois, c'est bien sympa sauf pour certain qui on mis le pied dans un nid de guêpes. ça monte toujours assez régulièrement. Les cuisses suivent bien par contre j'ai le souffle court. C'est pas très agréable.  j'ai l'impression de pas pouvoir remplir mes poumons comme je veux. Les chemins sont comme j'aime, c'est super agréable.


On arrive en haut de la 1ere bosse, on m'annonce 9eme feminines. Et juste après, Nicole V3 du Club me double alors que j'essaie de recaler mon souffle.
On contourne une ferme dans l’étable les vaches écoutent de la musique. Un bénévole me dit" c'est par là" en me montrant l'entré de l'étable. J'entre des veaux sur ma droite et un peu plus loin un table avec le ravito. Nicole s’arrête, j'attrape 2 tucs, tourne la tête et vois passer comme une flèche une copine super forte. Mais elle était derrière moi?!! je la pensais loin devant. Je repars dans la foulée avec peu d'espoir de la revoir.


On suit un petit chemin dans un bois de feuillu, fort sympathique, qui va finir pas par se transformer en une monotrace descendante assez technique comme je les aime pour rejoindre le fond des gorges de la Gagne. Dommage j'ai du mal à doubler les mecs de devant....
On traverse la Gagne et ça remonte bien par une chemin empierré. Nicole me redouble toujours aussi concentré. A ma grand surprise au détour d'un virage j'ai toujours ma copine très forte en visuel. Un gars crie: "c'est bon on voit le ciel", on arrive en haut de la bosse.







On longe les gorges de la Gagne, les paysages sont à couper le souffle, avec le soleil, les couleurs automnales, c'est magnifique. mais faut qu'en même regarder ou on met les pieds car on suit une sente au milieu des genets. Je suis dans les pas de Nicole. Je finis par la doubler juste avant une grosse grimpette bien raide. ça monte super raide, les cuisses brûlent bien, heureusement c'est pas trop long. 


On arrive au village de Bigorre. La particularité de ce village s'est que les maisons sont des chaumières. je profite de la route pour avaler un gel. Apres le village, enfin ça redescend, je suis bien, j'ai une pensée pour Brinouille qui nous a quitté y a bientôt 15jours. Et s'en suit une montée d'endorphine qui me donne des ailes, je descend à toute à l'allures en laissant sur place les gars que je venais de double. je m’éclate et profite de la descente jusqu'à la rivière qu'on traverse par un pont installé pour l'occasion au pied de la cascade. Quand je  passe un bénévole me dit "oh un rayon de soleil " merci pour le compliment....




On a descendu passé la rivière donc maintenant on remonte.... je double un ou deux gars, lève la tête et juste devant moi à 2 coureurs, ma copine. J'arrive pas à y croire. elle semble pas super en forme. je gagne du terrain. Pointage à Pouzol Vieux, je suis derrière elle, on double une féminine qui semble bien épuisée. On attaque la 2eme partie de la montée. Et là, je double la copine, c'est a noté car c'est pas sur que ça se reproduise souvent. On échange quelques mots à priori des ampoules lui pourrissent sa course, et je file.
On redescend sur le ravito de Montusclat, une fille, donc je choisi de pas m’arrêter et j'avale un gel, du coup je double un gars du club arrêté aussi qui d'habitude court plus vite que moi. Mon cerveau est dans mes jambes, j'arrive pas à compter le nombre de filles doublées depuis ma position de 9eme. je suis 5-6 ou 7?.
On remonte, mais je sais que c'est bientôt la fin, y reste cette grimpette, un bon coup de cul pour le suc du Chapteuil et l’église. Là ça pourrait être courable, mais comme la fille que je viens de doubler marche assez lentement, j'en profite pour marcher mais plus vite.


Je double 2 gars, qui me disent, "tu sais y a une fille juste devant, tu peux l'avoir", "On connais pas ton niveau mais on croit en toi", "Allez, on mise tout sur toi" "elle descend bien mais et plus lente en montée". Bon ben c'est partie à la chasse aux couettes. 
Y reste 6-7km, je l'ai en ligne de mire, ça descend maintenant, je gagne petit à petit du terrain. Je veux pas non plus la doubler trop tôt car j'ai peur qu'elle relance. Je suis derrière, quelques mètres nous sépare, y reste le suc à grimper et 3km plutôt descendant. On croise des randonneuses, qui à ma hauteur crient "allez les filles".... Bon ben je suis grillé pour mon approche discret. Finalement, elle relance pas, je double donc Cecile à la grimpette suivante. On se connait pour avoir fait plusieurs courses ensemble et je l'avais doublé pareil sur la fin au Trail du Bessat en 2012.




Allez la grimpette du suc du Chapteuil avec le ruine du château. Dans la montée j'entend "allez Audrey!!" les voyants s'allument.... Même si je suis surprise que si prés de l'arrivée y ai encore une féminine. Non fausse alerte on a rejoint le parcours du 14km et c'est les filles du 14km. On redescend, je suis super bien, j'ai envie de crier aux mecs de devant que je peux pas doubler sur la monotrace, "accélère... 3h05 y reste 3 km"... ça remonte un peu, et là je pousse un cri, le mec de devant se retourne inquiets "Non c'est rien un crampe". J'essaie de pas y penser. ça descend maintenant pour de bon. je contrôle ma foulée, je suis à la limite de la douleur mais ça passe, j'avance qu'en même bien. J'encourage les filles du 14 que je double, j'ai la banane....





Maintenant quelques mètres à souffrir pour la montée de l’église. En haut on m'annonce 4eme féminines, j'y crois pas... je suis sur un nuage, je redescend les marches de l’église, traverse le village.... Et franchi la ligne en 3h24

Je suis aux anges, trop contente, retrouve quelques gars du club, on papote quand je vois Fred arriver avec son appareil photo pour m'immortalisé à l'arrivée... Je l'appelle, il est surpris "Mais t'es déjà là?!! " Du coup pas de photo de l'arrivée... Il a finit en 3h05.
Je pense que pour le moment c'est ma meilleur course de l'année. ça faisait longtemps que j'avais pas été aussi bien sur une course et que j'avais pas pris autant de plaisir. Le parcours était superbe, aussi bien pour les paysages que pour la technicité du terrain. L'organisation était nickel. Le concert avant la remise des prix étaient bien sympa aussi. Oui j'ai passé une super journée, et je suis réconciliée avec le Capitotrail

Et je rajoute le lien vers une superbe vidéo qui donne trop envie d'y retourner...



Classement:
3eme senior sur 9 finisheurs
4eme féminines sur 23 finisheurs
129eme au général sur 228 finicheurs
la 1ere féminine finit en 2h47
le 3eme féminine en 3h19
2h20 pour le 1er homme
la derniere en 4h10 et le dernier en 4h12


les photos sont pas de moi a part celle des chaumières, je me suis permis de les prendre les photos sur le site officiel


dimanche 13 octobre 2013

Rando VTT à Beauzac

Voilà quelques semaines que j'avais repéré cette rando organisé par l'ecole St Joseph de Beauzac.  La météo annonce beau pour dimanche, pourtant depuis 2 jours l'hiver est arrivé, avec le froid, la pluie et même la neige.
Au reveil, le soleil est là avec une légère brune. On se motive et nous voilà partie pour Beauzac. Beauzac, est un village situé dans les gorges de la Loire donc dans un trou, on ne connait pas du tout donc ça va etre l’occasion de découvrir des nouveaux lieux. En arrivant sur Yssingeaux, c'est une mer de nuages qui envahie toutes les gorges et même plus. C'est magnifique mais ça présage rien de bon pour notre rando.

Sur place on découvre le parcours, et nous voilà partie dans le froid 5°C et le brouillard. ça démarre bien dur 320 D+ pour les 4 premiers kilomètres. La on se pose qu'en même la question de savoir ce qu'on est venu faire dans cette galère. On passe au dessus des nuages, un panorama superbe s'ouvre à nous, avec la "chaine" des sucs. On voit le Lizieux (on habite au pied).

Un premier ravito dans une maison de Béate, je suis gelée, un bon thé est le bien venu.Apres 10min de pause faut reprendre la route.

Maintenant on redescend, dans des sentiers bien techniques et rendu glissant par la pluie. Non c'est pas de la descente reposante. Les chemins sont très jolis, dans les grimpettes des que c'est technique, j'avoue je pousse le vélo, de toute manière je vais aussi vite en poussant qu'en étant sur le vélo. Par contre là j'ose moins le dire mais parfois je pousse même dans les descentes, quand c'est vraiment trop technique....

On profitera d'un super sentier dans les bois pour rejoindre Chalencon. Une monotrace, pas trop caillouteuse mais très étroite avec un "ravin" à notre droite. Là je m'imagine glisser sur une pierre et finir dans le trou à attendre que le GRIMP viennent me chercher. Faut pas trop réfléchir quand on fait du VTT.

Chalencon 2eme ravito, je suis déjà venu lors du trail de Tiranges, et je me rappelle de la longue remonté sur Tiranges, ha mais c'est par là qu'on va passer!! Une bonne pause papotage et goinfrage avant de repartir.

On redescend passe le pont de Bounerie et on attaque soit disant la dernière grosse montée. J'alterne pédalage et poussage de vélo.

On oscille sur un plateau, puis c'est la super mega descente. Une descente comme j'aime, sans trop de cailloux et pas trop raide. Là je m’éclate même si je suis limitée par mon vélo bien raide et qui freine mal voir même très mal.

Nous voilà dans la vallée de l'Ance, c'est plat, c'est cool, on devrait pas tarder à arriver. Mais, mais pourquoi la fléche elle indique de prendre ce chemin qui monte à droite. Ah non ça monte, c'est trop dur, ça dur moins de 2km mais, là j'ai plus envie. J'alternerai une fois de plus entre marche et vélo mais surtout marche. Enfin nous voilà sur la route, ça y est c'est fini, on redescend au centre du village. Une bonne pause au ravito d'arrivée, la température est beaucoup plus douce qu'au départ.

Une chouette rando, des beaux paysages, de jolis sentiers. Mais qu'est ce que le VTT c'est dur....
On aura parcouru 41Km avec 1210m D+ en.... j'ose le dire.... 5 heures













lundi 7 octobre 2013

Trail Gargomançois


ça faisait un moment que je n'avais pas pris le départ d'un trail, ben oui l'UTV en relais c'est pas vraiment un départ...
Toute la semaine précédent le trail, j'ai les jambes bien raides, ça m’inquiètes un peu. Je tente de faire des séances d’étirements tous les jours. Et puis c'est pas grave, j'y vais pour le fun, l'histoire de découvrir un nouveau parcours et de passer un bon moment.
Sur place je retrouve Séverine, qui c'est retrouvé par hasard sur ce trail. Le programme annoncé sur le site:
"Le Trail Gargomançois offre un parcours de 28km et environ 1200m de dénivelé positif.
C’est une épreuve technique réservée aux traileurs expérimentés.
Ce parcours exigent, fait de monotraces, descentes techniques, traversées de rivière ... permet de découvrir les paysages variés de notre région et se termine par le secteur des Gorges de la Loire, avec des passages dans des sentiers escarpés (600m de D+ sur les 8 derniers km)..."
En quelques mots "tous ce que j'aime" Par contre le temps est bien couvert, et le ciel bien bas, il fait bien frais, une dizaine de degrés.


8h30, le dossard 63 est fixé avec les épingles "porte-bonheur" de Thierry, le départ est donnée. ça part assez vite surtout que ça descend. Je suis Séverine qui est en mode sortie longue. Je sens que je suis un peu rapide mais bon c'est pas grave. J'essaie de garder à l'esprit qu'il y a une grosse grimpette à la fin. Au début, on suit un chemin assez large et roulant, ça permet d’étirer le peloton.

Des passages en monotrace assez sympas. Avec Séverine, on est jamais bien loin l'une de l'autre. Un coup, c'est elle devant puis c'est moi. Devant une fille accompagné d'un lièvre qui la booste bien, je suis juste derrière eux et je les talonne.
8eme kilometre environ, premier ravito, j'en profite pour refaire mon lacet et là je perd de vue la fille et son lièvre. A la sortie du ravito, c'est la bifurcation avec le parcours de 12km. Je rencontre un compagnon de course avec un Tshirt "Benrun", on papote et il m'explique que l'an dernier y a payé cher son départ rapide.
Les jambes suivent bien parcontre, je suis vachement essoufflé. Chose très rare, j'ose jeter un oeil à mon cardio. Oups, je crois que je vais trop vite...  Essaie de réduire un peu l'allure.
Y a du brouillard, on traverse un pré, on voit à peine les mecs de devant. Les chemins sont de nouveaux roulants.

16eme kilometre environ, 2eme ravito, En fait j'ai rien vu passer, moi qui pensait que le ravito était à 12km.
On retrouve régulièrement "Benrun", on joue au yoyo dans les monotraces. On surplombe les gorges de la Loire, entre les branches des arbres on aperçoit la Loire. Un panneau "1km de descente profitez en!" Ben oui, c'est la dernière descente avant les 2 dernières bosses. Descente bien technique comme j'aime, Severine me dit "je vais me préserver dans la descente car faut remonter" et elle peut être raison mais zut, faut bien se faire plaisir... Et puis dans les descentes techniques des fois c'est plus fatiguant de ralentir que de laisser dérouler...

On attaque l'avant dernière bosse, la plus petite des 2, soit 166m de D+ sur 1km200 je retrouve" Benrun", qui semble déçu que je soit encore là, je lui explique qu'on se débarrasse pas de moi aussi facilement. On attaque une montée pas si terrible que ça, c'est courrable mais les jambes ont du mal à relancer donc on marche. On plaisante sur l'endroit ou les crampes l'ont assailli l'an dernier.

  Un photographe, on se remet tous les 3 à courir, sur quelques mètres l'histoire de faire illusion.
 On nous annonce 6 et 7eme feminines, cool ça donne des ailes.

Allez ça c'est fait, on bascule direct pour la dernière descente technique, voir même la dernière descente du parcours.

En bas, dernier ravito 25km environ, je m’arrête pas, et avale un gel. c'est partie pour la dernière bosse, la montée de la mort 370m D+ sur 3km.
   je sais pas si c'est l'effet du gel, mais c'est pas si terrible, c'est une alternance de faux plats et petit grimpette raide dans un vallon qui longue une rivière ou plutôt un ruisseau.
 C'est super jolie, dès le 1er faux plat, je relance et double 2 mecs. L'un dit à son collègue "on relance aussi?". Je marche des que le sentier devient raide et relance sur le plat. Le mec est calé derrière moi, j'ai perdu Séverine, elle semble pas avoir suivie, pareil pour le 2eme mec.
  On  a un super rythme, on papote. Il trouve que je relance bien sur le plan et que je l'ai bien aidé à repartir (c'est peut être ça le syndrome de la queue de cheval?!). Finalement, je faibli un peu, il passe devant et je me cale sur son rythme.

Et là c'est le mur, non pas le mur du marathon mais un vrai mur, une pente super raide, qui glisse. C'est super dur, j'ai la tête qui bouillonne, j'ai chaud, j’apprécie la pluie qui commence à tomber et qui me rafraîchi le visage. Je grimpe doucement, mon compagnon de course s'éloigne petit à petit. On a en ligne de mire un groupe de mecs. ça y est je suis en haut, je sors du bois. Je crois qu'il y aura plus de kilomètre que prévu.

 Il pleut c'est plat. le mec devant moi relance et limite il s'effondre devant moi, des crampes. je trottine, rattrape un autre mecs assailli lui aussi par les crampes. Je sens bien que pour moi aussi elles ne sont pas loin, du coup je ne cherche pas à accélérer. Un troisième gars qui marche, pareil des crampes, j'essaie de le rebooster, il tente de repartir mais je ne crois pas que ça marche.

 Au loin un T-shirt bleu, mon compagnon de grimpette, il reste une centaine de mètre, les jambes sont plus légère. J’accélère, je suis à quelques dizaines de mètre de lui. Il franchit l'arche, et elle s'effondre. Et moi alors je passe comment? je me faufile, tout le monde s'affaire sur l'arche. Le mec qui enlève les puces nous félicite et me dit "Vous n'avez pas eu votre rose?" et oui chaque féminine avait le droit à sa rose. Mais dans la panique de l'arche qui s'effondre, on m'avait oublié, chose vite réparé.
   Encore dans le sas d'arrivée, juste à quelques mètres de moi, la fille et son lièvre, ils ont franchit la ligne 2-3 min avant moi. Séverine arrivera 5-6 min après moi, en fait elle a fait une hypo dans la montée et moi j'ai rien capté...
Finalement, j'ai mis 3h39min, mon objectif était entre 3h30 et 4h (sachant que 3h30 me semblait quasi impossible car on m'avait dit que c'était le chrono de la 1ere féminines l'an dernier qui après vérification était en fait 3h15) et au final y avait 30,3km pour 1320m de D+ d’après ma Garmin.

J'ai adoré le parcours, je me suis bien amusé. et c’était bien sympa de partager la course avec Séverine. Ben finalement c'est passé assez vite, c'est sur qu’après quelques trails longs 3h39 de course ça parait court . Je dirai que le seul point négatif, c'était la météo, mais ça on peut pas y faire grand chose...




  • 3eme senior féminine sur 9
  • 6éme féminine sur 14
  • 121éme au total sur 187

Les 1eres féminines ont fini en 3h15 et la dernière en 4h27
Le 1er en 2h26 et le dernier en 5h02







Site de la course: http://trail-gargomancois.fr/
Trace GPS: http://connect.garmin.com/activity/386428863
Les photos sont pas de moi sauf la rose ;-)